Le Gala organisé le 17 mai au profit de l’école Riad Zitoun dans le magnifique cadre de l’hôtel Selman de Marrakech a vraîment tenu toutes ses promesses. Une nombreuse assistance –prés de 300 personnes - de qualité avait répondu à cet évènement exceptionnel tant pour le splendide spectacle offert que pour les généreux buffets gastronomiques –sushis, risottos, crustacés, pastas, brochettes, etc- assortis des meilleurs vins marocains comme le Château Roslane, le Tandem ou les Perles du Sud.
En prélude, une belle exhibition de purs sangs arabes accueillait les invités au son d’une musique andalouse puis le patio de l’hôtel présentait les magnifiques broderies faites par les élèves de l’école ainsi que les délicieuses confitures confectionnées par les jeunes filles du Centre de formation aux métiers de l’Hôtellerie et de la Restauration, annexe de l’école.
Egalement, les œuvres des artistes offertes à l’école et proposées aux invités étaient exposées au public, notamment de belles lithographies de Mahi Binebine, Malika Agueznay, Mohamed Mourabiti et Réal Lessard ainsi que des huiles originales de Mohammed Melehi, Lamia Belloul, Nourredine Boumaaza, Régis Delene Bartholdi, Laila Iraki, Anna-Maria Malard, aussi un bronze ‘baleinier’ de Nicola Salvatore et des objets moulés de Mahassine Iraki.
Le spectacle débutait avec entrain par le ballet Ohlala où de ravissantes danseuses déployaient leur grâce au son de Mozart l’Egyptien avec une flute enchantée revisitée à l’orientale.
La charmante et talentueuse Françoise Atlan, Diva de la chanson arabe et séfarade, poursuivait le show en interprétant les mélodies traditionnelles d’un répertoire ancestral d’une voix enchanteresse inégalée.
Le corps du spectacle se déployait ensuite sous la conduite de Mario Reyes, gipsy-man, du grand chanteur gipsy-king Georges Reyes et de leur formation gipsy déchainée.
Jean-Luc Viala, le grand ténor d’opéra s’était joint à la fête en interprétant notamment avec eux le succès ‘Sin tu amor’.
Les chansons flamencos et gitanes s’enchainaient pour finir en apothéose dans la grande tradition de la fiesta gipsy avec ‘Djoby Djoba’ et ‘Bamboleo’.
Le spectacle s’achevait tard dans la nuit, cette soirée pleine, merveilleuse et si originale restera dans nos mémoires.
En prélude, une belle exhibition de purs sangs arabes accueillait les invités au son d’une musique andalouse puis le patio de l’hôtel présentait les magnifiques broderies faites par les élèves de l’école ainsi que les délicieuses confitures confectionnées par les jeunes filles du Centre de formation aux métiers de l’Hôtellerie et de la Restauration, annexe de l’école.
Egalement, les œuvres des artistes offertes à l’école et proposées aux invités étaient exposées au public, notamment de belles lithographies de Mahi Binebine, Malika Agueznay, Mohamed Mourabiti et Réal Lessard ainsi que des huiles originales de Mohammed Melehi, Lamia Belloul, Nourredine Boumaaza, Régis Delene Bartholdi, Laila Iraki, Anna-Maria Malard, aussi un bronze ‘baleinier’ de Nicola Salvatore et des objets moulés de Mahassine Iraki.
Le spectacle débutait avec entrain par le ballet Ohlala où de ravissantes danseuses déployaient leur grâce au son de Mozart l’Egyptien avec une flute enchantée revisitée à l’orientale.
La charmante et talentueuse Françoise Atlan, Diva de la chanson arabe et séfarade, poursuivait le show en interprétant les mélodies traditionnelles d’un répertoire ancestral d’une voix enchanteresse inégalée.
Le corps du spectacle se déployait ensuite sous la conduite de Mario Reyes, gipsy-man, du grand chanteur gipsy-king Georges Reyes et de leur formation gipsy déchainée.
Jean-Luc Viala, le grand ténor d’opéra s’était joint à la fête en interprétant notamment avec eux le succès ‘Sin tu amor’.
Les chansons flamencos et gitanes s’enchainaient pour finir en apothéose dans la grande tradition de la fiesta gipsy avec ‘Djoby Djoba’ et ‘Bamboleo’.
Le spectacle s’achevait tard dans la nuit, cette soirée pleine, merveilleuse et si originale restera dans nos mémoires.